Selon le rapport de Hale Vash/ À l'approche de l'anniversaire de la mort de Mehsa (Gina) Amini, des manifestations à l'échelle nationale et de la tragédie du Vendredi sanglant, des messages de menace ont été envoyés à tous les citoyens du Sistan-Baloutchistan par les sociétés de télécommunications.
Ce message aurait été publié par le « département d'assistance sociale et de prévention du crime de toute la province du Sistan-Baloutchistan ».
Les enquêtes montrent que ce message a été publié sans discernement et en masse, même pour ceux qui ne sont pas présents dans le cyberespace.